phoenix-blizzard
Messages : 705 Date d'inscription : 11/07/2014
| Sujet: Délire de contrôle. Mer 27 Aoû - 14:49 | |
| Bon celui aussi met sorti de la tête sous un coup de folie mais il y a une différence avec l'autre. Celui-ci est inspiré de fait réels et je ne mens pas la partie du teste avec le bruit m'est arrivé, la seule différence est que j'ai seulement grommelé dans ma barbe contrairement à eux. - Spoiler:
« Je vais tous vous tuer ! Un par un si besoin ! Non mais, quelle mouche vous a piqué cette après-midi et en plus de finir chez le directeur ?
Aucune réponse ne parvient aux oreilles de la jeune fille, énervée voir enragée, les yeux rouges, les cheveux en batailles, soulevés par ses cris incessants.
En face d’elle, une dizaine d’étudiants, le teint pâle, de grosse gouttes de sueur tombant de leur corps, comme si ces derniers venaient de pratiquer une activité physique intense, tremblant comme de vulgaire petits chiots face au courroux qui les attendait.
Même un des joueurs, pourtant extrêmement fort pour rester stoïque, alias Kuroko Tetsuya, ne pouvait retenir une expression de peur extrême face à cette femme non, démone.
Si tous avaient su quelques heures auparavant vivre un tel enfer, ils auraient fermés leurs gueules, tous sans exception.
Comment en étaient-ils arrivés là ? Tout simplement suite à une bêtise de chacun.
Les contrôles communs étaient rares mais les plus dangereux, surtout à cause de leur coefficient surdimensionné, et même les plus idiots tel que Kagami ou encore Hyouga ne rigolaient pas avec cela.
En effet même eux travaillaient là-dessus car sinon en plus de leur parents respectifs sur le dos, enragés en cas de mauvaise notes, la fille qui leur sert de coach, alias Aido rika, les détruirait avec une punition dès plus inventives mais ô combien destructrices !
Ce jour là, encore plus rare, les premières années comme les secondes avaient durant la même heure, contrôle commun.
Le coup du hasard se renforça lorsque la classe des premières années du basket les trois des ainés du basket, aussi, se retrouvèrent, malheureusement, au ré de chaussé.
L’heure de stress ne se passait qu’en début d’après-midi lors de l’heure de 14 à 15 heures cependant tellement difficile et long, la plupart des étudiants ne pensèrent qu’à cela et révisèrent dès que la situation leur permettait.
C’est ainsi, que malgré leur désir de jouer, les basketteurs passèrent leurs heures de coupures à se donner des conseils et à s’entraider sur les difficultés que rencontraient certains, évidement sous l’œil démoniaque de leur diabolique, ravissant et tyrannique coach.
La sonnerie de reprise sonna comme une sentence irrévocable pour tous les élèves du lycée. Chacun se rangea, devant les salles plus ou moins silencieuses, stressait par le fait aussi, que les professeurs même dans des moments aussi vitaux se débrouillaient à arriver à la bourre !
Enfin les hommes ou femmes sortirent de leur salle, interdites d’accès aux plus jeunes, pour se diriger d’un pas presque mous, sauf pour certains plus compréhensifs, vers les classes.
Etrangement pour ce contrôle nos courageux guerriers eurent tous, une professeure, et non un homme comme d’habitude voilà qui était étrange. Coup du hasard là encore.
Pourquoi qu’une personne pour plusieurs classes, la réponse était simple peu de personnel disponible, ou alors certains demandaient une augmentation, refusait bien entendu.
Donc le proviseur avait tranché et réunit plusieurs classes par forcément de même année dans une même salle au rez-de-chaussée, qui servent en temps normal pour les gros examens tel que le bac ou parfois pour le brevet quand certains collèges étaient en manque de salle.
Et voilà tout ce petit monde réuni, devant des bureaux, dans une salle blanche et enfermée, avec pour seule vision extérieur trois fenêtrés, quant à la vision d’horreur, il fallait juste lever la tête pour voir le visage jussif de la professeure.
Bref le test démarra dans un silence morbide, sous les têtes tressés pour certains, surpris pour les quelques uns qui n’avaient pas révisé et horrifié pour finir par ceux qui voyaient la longueur de la torture.
Les stylos souffrirent énormément du à la longueur des écris, mais aussi au stress des étudiants, tremblant en voyant l’heure défilait beaucoup trop vite.
En plus de l’écrit, voilà un autre problème pour tous les élèves, un bruit incessant dans cette pièce diabolique.
De là où se trouvaient les pauvres torturés, la cause de ce bruit était un type un peu incapable et con qui ne faisait que tomber dans les escaliers, portant surement quelque chose de lourd.
Ce fut un véritable calvaire pour eux de résister à l’envie de hurler et d’aller fracasser l’idiot responsable d’autant de boucan.
Seulement l’enjeu réussit à stabiliser tous les étudiants ou presque….
Parce que voilà, cet incapable venait de tomber une énième fois entrainant cette fois-ci, quelque chose d’autre avec lui, ce qui se sut par un cri de femme, qui résonna d’ailleurs dans tout le lycée.
Cela fut le coup de trop, la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Tous les membres du club de basket se levèrent et hurlèrent à l’unisson, et le plus étonnant la même phase :
« Ö counille tu tombes ou pas parce que si jamais tu veux tomber ben tombes bordel ! »
Evidement la professeure les mit dehors avec un zéro à la clé pour tous sans exception. Mais le pire était encore à venir, tous en étaient conscients et se posaient la même question. Comment allaient-ils survivre au démon qu’était leur coach le soir ?
Nul ne trouva une réponse et voilà où ils en sont.
En train de se faire pourrir et traiter de tous les noms possibles et imaginables quoique…, bref aucun n’était sorti d’auberge surtout quand d’un œil rageur, la petite brune leur promettait une punition diabolique d’une semaine, qui allait être très longue pour leur pauvre corps, mental et cœur.
Un malheureux chiffre vint se rajouter dans l’équation alias Aomine Daiki qui avait été nommé pour faire un petit stage chez Seirin durant deux semaines.
Pas que cela ne l’enchantait pas mais, leur relation n’était pas très bonnes à vrai dire alors autant faire comme l’avait dit la petite rose, qui lui servait d’ami d’enfance, essayer d’améliorer leurs liens.
Donc le voilà en direction du lycée rempli de fous comme on les décrivait. Seulement, suite à un problème de transport, train en retard, le nouveau ne se présenta qu’au club de basket, qu’il avait pu rejoindre la durée de stage.
Cependant son arrivée était le pire moment avec la rage de sa temporaire coach.
Comme elle les avait prévenus, son entrainement fut monstrueux à un tel degré que même l’ancien as de la génération miracle acheva la journée très mal en point physiquement mais aussi mentalement.
Comme une fille pouvait-elle être encore plus monstrueuse qu’Akashi et autant dangereuse. Telle était la question qui resta évidement, sans réponse.
Et cela dura toute la semaine qui fut éprouvant pour tous, pour montrer la dureté de la torture, l’exemple le plus simple était que tous les joueurs avent vomis plus d’une fois, et que certains arrivaient le dernier jour rampant, ou avec une canne emprunté surement aux grands-parents.
Ainsi la semaine s’acheva, et le moins que l’on pouvait dire, fut que Aomine ne s’était jamais aussi bien entendu avec Seirin que cette fois là.
Pour voir le bon coté des choses, leur relation s’était grandement amélioré cependant rien ne pouvait être positif du coté physique.
La première annonce de la journée fut la délivrance des joueurs qui fut un soulagement merveilleux pour les élèves cependant vite brisé par cette petite et simple phrase :
« Je vais modifier l’entrainement je vais vous faire pratiquer le triple de l’entrainement quotidien. »
Cette phrase les fit tous hurler de peur et souffrance, par ailleurs Aida Riko affichait un sourire digne de l’empereur, sadique et cruel, symbolisant la torture qui s’annonçait.
Le résultat de ce stage fut choquant pour les membres de too. Pourquoi, la raison était simple, à peine rentrée, leur as avait sauté presque sur leur capitaine et s’était agenouillé devant en lui disant qu’il l’aimait d’un amour fou.
Imayoshi ne répondit jamais, à la place il hurla de surprise….
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